Comme si un profond soupir avait été relâché, et que, pendant un instant, il nous laissait en paix.J’étais dans la file du bazar avec une bière fraîche à la main.Le plan était clair : monter sur le toit, ignorer le monde et bronzer mes soucis.Mais l’air avait une autre texture.Autour de moi, des gens inquiets, le front plissé, les téléphones éteints en main, demandant à voix basse : Tu as de la lumière ? À 12h33, tout s’est éteint.Écrans. Wi-Fi. Notifications. Appels vidéo.L’Espagne, le Portugal et une partie de la France ont sombré dans le noir.Et pourtant, le soleil était toujours là, brillant avec insolence.Comme si ça ne le concernait pas.Et dans ce bug de la routine, quelque chose s’est allumé.Pas dehors. À l’intérieur.
TOUT S’EST ÉTEINT… ET NOUS AVONS RECOMMENCÉ À ÉCOUTER
Un lundi étrange. ce n’était pas la fin du monde, mais on a ressenti quelque chose
Bayra
Il n’y avait pas de zombies.Ni de théories folles envahissant les réseaux juste une pause gênante.Comme quand tu fais du scrolling sans savoir ce que tu cherches.
et dans cette pause, ce qu’on croyait mort —l’analogique, le lent, le simple— s’est remis à respirer.Les radios à piles —ces reliques qui survivent dans les stations-service— sont devenues des oracles.Les gens se rassemblaient autour comme autour de feux de camp modernes.Pendant quelques minutes, nous écoutions tous la même chose.Sans filtres. sans stories. sans faire semblant.
Et c’est là que nous l’avons remarqué.Nous avions oublié ce que c’est de faire quelque chose sans interruptions.Attendre sans angoisse. parler sans données. exister sans spectateurs.Nous sommes connectés à tout… sauf à nous-mêmes.Au milieu de tant de signaux, nous vivons en mode avion.
Nous tentons de remplir le silence avec des playlists sans fin, des séries jamais terminées, des écrans doubles.Mais malgré tout, nous cherchons toujours quelque chose qui nous apaise.Retourner au manuel, ce n’est pas du rétro. c’est de la survie. avec style.Comme pendant la pandémie, mes loisirs manuels m’ont encore sauvée.Je sais être seule. je sais utiliser mes mains.Et ça —au milieu du bruit— c’est un super-pouvoir.
il ne s’agit pas de revenir au passé.C’est se rappeler qu’on a un corps, pas seulement une tête connectée au wi-fi.Ecrire au stylo. peindre sans publier. réparer sans chercher un tutoriel.Baisser le volume du monde, ne serait-ce qu’un instant.Revenir au manuel, ce n’est pas de la nostalgie.C’est dire : je ne comprends pas ce qui se passe, mais je suis là.C’est avancer dans le chaos d’un pas lent. sans carte. mais avec intention.Plus humain. plus réel. plus toi.Et peut-être le plus important :
écouter de nouveau.Les autres. soi-même.Ce silence étrange qui reste quand tout s’éteint…et que, enfin, quelque chose en nous s’allume.Ca a duré 12 heures sans électricité.Et quand elle est revenue, la crispation aussi.Les théories. l’anxiété déguisée en information.Un courant électrique qui a réactivé non seulement les prises, mais aussi la peur.Comme si on ne supportait pas le calme.Comme si se déconnecter un moment était plus dangereux que n’importe quelle panne.
chez Dueñas, nous parlons de...
SARAGOSSE, LA GRANDE INCONNUE
Saragosse, la grande inconnue, est une ville que l’on redécouvre avec le cœur.Pleine d’âme, de saveurs et de souvenirs, elle va bien au-delà du vent ou de la chaleur.Ce texte est un hommage à ses rues, à son peuple et à ses rituels.Parce que partir, ce n’est pas l’oublier… c’est apprendre à l’aimer encore plus.
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NORMAUX, NON MERCI
Nous sommes une génération qui trace son chemin sans demander la permission, entre rires, vertiges et créativité.Ce projet est né de l’âme, du joli désordre et de l’envie de raconter notre propre histoire.
Car il ne s’agit pas de rentrer dans un moule, mais de rêver joliment dans notre propre film.
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ET MAINTENANT, QUI LE FAIT?
La mode commence à valoriser le local justement au moment où la main-d'œuvre spécialisée se fait rare. Des métiers comme la confection et le modélisme ont été invisibilisés, ce qui a entraîné un manque de relève générationnelle. Ubrique, référence en matière de qualité, fait face à une forte demande mais à une capacité limitée, faute de personnel qualifié. Il est temps maintenant de former, de valoriser et d’investir dans le métier pour que l’industrie puisse se maintenir.
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LA VÉRITABLE MÁLAGA EST DANS LES QUARTIERS
Dueñas nous emmène en balade dans La Trinidad, un quartier authentique de Málaga, plein de vie, de saveurs et d’âme.Parmi ses rues chargées d’histoire, ses bars sans prétention et ses recoins surprenants, on respire le charme de l’authentique et du local.Des marisquerías traditionnelles aux wine bars modernes, le contraste fait partie de son attrait.Et pendant que nous continuons à découvrir Lagunillas, nous promettons de partager chaque trouvaille avec ceux qui apprécient ce qui est vraiment vrai.
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MALAGA, C’EST PLUS QUE SOLEIL ET PLAGE
Málaga est bien plus que du soleil et des plages : c’est de l’art, de la culture et de la diversité. Des galeries comme La Trenza aux coins gastronomiques uniques, la ville offre une autre manière de la vivre.
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NOS VILLES
Ce blog entame une nouvelle étape où la nourriture est le fil conducteur pour partager des histoires, des villes et des racines. Nous voulons rendre hommage à la tradition, aux produits locaux et aux personnes qui nous inspirent. C’est un voyage émotionnel et sensoriel qui ne fait que commencer.
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LA SAVEUR NE SE MANGE PAS SEULEMENT
Il célèbre le lien entre bien manger et vivre en conscience.Il met en avant l’huile d’olive vierge extra comme symbole d’équilibre, de simplicité et de respect de soi.Il invite à appliquer cette même philosophie à notre façon de nous habiller : choisir ses vêtements avec autant d’attention que ses aliments.En résumé : moins d’excès, plus d’essentiel — dans la cuisine, la garde-robe et la vie.
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MAMAN, EST-CE QU’ON Y ARRIVE!
Un hommage aux mères qui, avec amour et peur en même temps, nous ont appris à voler. Elles ont été notre premier foyer et notre première force. "Dueñas" est l'étreinte qui unit leurs rêves aux nôtres, pour toujours.
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ASPIRATION OU SENS ?
Le luxe est en train de changer : il ne s’agit plus de montrer, mais de ressentir et de se connecter.Chez Dueñas, nous misons sur l’artisanat local, la qualité sans précipitation et la cohérence avec du sens.Nos sacs ne suivent pas les tendances : ils racontent des histoires, durent dans le temps et vous accompagnent.Parce que ce qui est bien fait n’a pas besoin de bruit… juste d’authenticité.
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